L’e-commerce est en plein développement ces dernières années, même si 3,4 Millions d’internautes ont réalisé des achats en ligne. Le sentiment d’insécurité persiste toujours chez les internautes ! En effet, un sondage a été réalisé par le bureau d’études Research Solution a interrogé 529 adultes sur les comportements d’achats en ligne et les transactions bancaires. A savoir, seulement 37 % des internautes recourent aux banques en ligne, 29 % aux achats en ligne. De plus, 45 % des internautes n’ont jamais acheté sur Internet car ils trouvent le réseau peu sécurisé.
Désormais, que penser de la sécurité des transactions sur Internet et comment éviter la fraude et le Fishing.
la sécurité sur internet est une priorité pour les achats en ligne
Selon une étude de l’institut Ipsos, pour le compte de la plateforme de paiement en ligne, PayPal indique que les français sont peu prudents. Contrairement à leurs homologues d’autres nations (le Canada, les États-Unis, l’Allemagne, l’Espagne, le Royaume-Uni).
Toutefois, le point positif de la France, 68% des internautes interrogés se disent victime du spam. Alors que les Allemands et les Britanniques sont davantage concernés avec un taux de 76% et 78%. A savoir, l’une des dérives du spam, le fishing, est quant à lui encore très méconnu en France. Seulement 32% des français s’en disent familiers, contre 50% pour l’Allemagne et 55% pour le Royaume-Uni.
Le choix des mots de passe lors d’une vente en ligne
En moyenne, les internautes utilisent entre 4 et 6 mots de passe pour l’ensemble de leurs comptes en ligne. et 52 % de Français n’en changent jamais. D’autre part, le choix du mot de passe pour les hackers et les robots sont trop facile à trouver. En fait, la moitié des personnes sondées choisissent leurs dates d’anniversaire comme mot de passe. Souvent associés à des noms ou à des membres de la famille et surnoms. Ainsi, ces mots de passe sont très faciles à récupérer via les réseaux sociaux comme Facebook, MySpace et autres…
Que faire en cas de fraude lors d’un achat en ligne
Lors d’une fraude sur un paiement en ligne d’un site web de commerce électronique. Le consommateur doit immédiatement demander à sa banque de se faire rembourser. Ensuite, la banque va s’orienter vers le cybermarchand pour récupérer l’argent. Ainsi, c’est le commerçant qui devra supporter les frais, sauf s’il possède une assurance.
Les certificats SSL à intégrer dans la vente en ligne
Lors d’un achat en ligne, des données personnelles sont transmises sur Internet. Ainsi, il est indispensable pour les e-commerces d’être sécurisés, surtout lors du télépaiement. A savoir, le moyen de sécurisation le plus utilisé c’est le certificat SSL (Secure Socket Layer). Celui ci repose sur un système de cryptographie à clé publique. A savoir, le principe consiste à établir un canal de communication sécurisé (chiffré) entre deux machines. Soit (un client et un serveur) après une étape d’authentification. Que contient le certificat SSL ?
- Votre nom de domaine à été certifié (ex : secure.domaine.com)
- Les coordonnées de votre entreprise
- Votre clé publique (qui permet le chiffrement des informations)
- Le nom de l’Autorité de Certification, qui émet ce passeport électronique
- La date d’expiration du certificat SSL
- La signature de l’Autorité de Certification
Assurance contre la fraude en ligne
Désormais, la compagnie d’assurance française April va proposer aux cyberacheteurs de s’assurer contre la fraude en ligne. En fait, cette assurance permettra d’obtenir une protection juridique pour tout litige sur le Net. Par ailleurs, cette protection concerne aussi bien les livraisons des achats effectués en ligne que la fraude. Mais encore, le Fishing (usurpation d’identité) ou la fraude dialyser (connexion surtaxée à l’insu du surfeur). Également, cette protection juridique comprend une assistance téléphonique en cas de différent avec un cybercommerçant. De même pour le remboursement des frais judiciaires (à concurrence de 20.000 euros par sinistre). De plus, l’assurance prendra également en charge tous les frais de réparation de l’ordinateur en cas d’attaque ou de virus.
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