Le tourisme a été l’un des secteurs les plus touchés en 2020, ce secteur était l’une des premières victimes du covid-19. Après la fermeture anticipée des stations de ski, les vacances de Pâques confinées, les vacances d’été ont été à leur tour mises en péril. Avec l’été 2020, la plupart des français aspiraient et rêvaient aux vacances d’été qui semblait rayées de la carte. Cependant, une alternative se présentait pour les professionnels du voyage avec le tourisme durable.
Ce n’est pas une surprise, le tourisme est fortement impacté par le covid-19. En effet, les voyagistes ont enregistré une baisse de -97 % sur leurs réservations. Cette chute de la demande touristique étant liée à l’interdiction de circuler. Selon la GBTA (Global Business Travel Alliance), l’impact de cette épidémie sur le tourisme pourrait atteindre 47 milliards de dollars. Cependant, selon plusieurs enquêtes réalisées, les professionnels du tourisme ont été réactifs en proposant des alternatives au remboursement (29%) : 89 % ont proposés des avoirs et 72 % le rebooking.
L’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) recommande plus que jamais de préparer le tourisme de demain. L’objectif étant de mettre en avant la contribution du secteur touristique au programme du développement durable. En d’autres termes, « réinventer » le tourisme et ses voyages, en tenant compte des besoins de notre planète. Parce qu’après le covid-19, notre monde ne sera jamais plus le même, et c’est d’autant plus le cas pour le tourisme. Le tourisme étant le moteur du modèle économique français.
Pour les professionnels du tourisme, l’objectif est de développer des hébergements touristiques, ainsi que des activités bénéficiant à toutes les parties : voyagistes, voyageurs, population locale, environnement et biodiversité.
Le tourisme serait aujourd’hui responsable de 8 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. D’autant plus que 70 % des émissions de gaz a effet de serre du tourisme proviennent du transport.
De par les vols aériens, le tourisme est un secteur polluant à grande échelle. Bien que le transport aérien est seulement utilisé pour moins d’un tiers des déplacements touristiques. Pour s’engager dans un tourisme durable, les moyens de déplacement lors de nos voyages représentent donc le levier le plus important à transformer. De ces faits, on voit apparaître de nouvelles formes de transports touristiques.
Le slow tourisme est apparu en 2000, cela suite à l’évolution des comportements, c’est une tendance touristique qui se prête bien et va bien se développer en cette période de réchauffement climatique. Cette alternative permet d’allier respect de l’environnement, préservation des richesses locales et amour de voyager. En outre, le slow tourisme convint à voyager autrement en profondeur.
En privilégiant les moyens de transport caractérisés comme « doux » tels que la marche à pied, la randonnée, le vélo… Les déplacement font eux aussi parti du voyage. Ils ne sont plus considérés comme des simples moyens de transport qui permettent de se rendre d’un point à un autre. Mais plutôt un moyen de voyager lentement en découvrant la nature et la région, tout en profitant de chaque instant.
En développant les énergies renouvelables au sein du secteur touristique, l’enjeu principal consiste à la réduction des bilans carbone, ainsi que notre dépendance aux énergies fossiles. Ces dernières étant très polluantes et disponibles en quantités limitées.
Avec plus de 90 millions de visiteurs par an, la France est le pays le plus visité au monde. De par la diversité de ses paysages, sa reconnaissance mondiale culinaire et viticole, la France représente depuis des années la première destination touristique. Connu sous le nom de capitale de la mode, Paris reste le lieux le plus visité au monde.
Canoë-Kayak, sports nautiques, randonnées, VTT, escalade, … Le tourisme de nature est bien souvent assimilé aux activités en plein air. Pour les citadins, le besoin de se ressourcer et de se reconnecter avec la nature tout en se coupant de la ville est recherché lors des voyages. En plus de pratiquer des activités plus vertes, les loisirs de nature permettent la découverte de lieux inédits.
Et si vous partiez le temps d’un week-end ? les micro-vacances correspondent à des séjours de moins de quatre nuits. Par exemple, en décidant à la dernière minute de partir en micro-aventure pendant les ponts du mois de mai. L’avantage des micro-vacances est de briser la routine le temps d’un week-end. Elles permettent de se ressourcer durant des intervalles plus courtes et plus fréquentes. Profitez-en, le territoire français offre une diversité de paysages hors normes : mer, montagnes, collines, lacs, …En savoir plus sur les Tendances du tourisme 2020.
Pour les professionnels du tourisme, il peut être intéressant de proposer des destinations diverses et variées afin d’augmenter les réservations sur la période hors saison estivale. Satisfaits de leur séjour, ces clients pourront retenter l’expérience à posteriori.
En conclusion, même si l’activité et l’industrie du tourisme est provisoirement arrêtée, il est important de préparer l’avenir en tenant compte des évolutions et des comportements des consommateurs. En attendant le déconfinement et un retour à la normal, restons à la maison et voyageons grâce à la télé ou sur internet: il y a de bonnes destinations pour préparer nos voyages de demain.
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